Mon deuxième mandat de député a commencé voilà un peu plus d’un an. Et il est peu de dire que les rapports de force ont changé.  Fragilisée par ses réformes impopulaires et en particulier celle des retraites, la majorité macroniste à l’Assemblée n’est plus « écrasante » comme elle l’était lors de mon précédent mandat. 

Sur certains textes, la coalition des oppositions arrive même à mettre la majorité en minorité, une configuration inédite qui donne à l’opposition de gauche davantage de possibilités de faire adopter ses amendements, comme je l’ai fait sur l’ouverture du chèque énergie au bois de chauffage ou sur la sécurisation des résiliences d’assurances.

Aujourd’hui, ma voix de Député de l’Ardèche compte, et mon travail de représentant de la Nation revêt tout son sens. L’opposition trouve une écoute attentive du gouvernement qui cherche à construire des majorités… lorsqu’il ne décide pas de contourner le Parlement en recourant au 49.3 !